L’association Terragraphe
Colliger, conférer et conduire diverses expériences d’écriture de/du terrain…
CE SITE WEB ? Pour explorer et exposer quelques terres à graffe. Il fut lancé à l’occasion d’un petit concours de “graphes” (malencontreusement censuré) dans une contrée nommée Loinverlà. D’autres terres à graffe sont venus, de pioche en pioche, l’amender. Les scories de l’écriture de terrain ne seraient peut-être pas à taire ? C’est ce qu’interroge probablement ce site.
Nous contacter : terragraphe@lilo.org
À PROPOS DU SITE TERRAGRAPHE :
À PROPOS DE L’ACTUALITÉ ÉDITORIALE DE L’ASSOCIATION :
- L’effet « jardin de Louise » : journal d’une terraformation
- Journal d’écriture du livre « Vivre le terrain des monitrices et moniteurs d’atelier »
- Parution d’un livre sur le terrain des moniteurs d’atelier (Esat)
- Fabrication du livre « pourquoi terragraphe ? »
- Parution d’un ouvrage sur la pratique du journal
- À propos du logo terragraphe
À PROPOS DE LA PHRASE D’ENTÊTE DU SITE :
(Journal / Bertrand Crépeau ) :
Mardi 17 octobre 2023
Je viens de retirer le slogan « Le terrestre, au quotidien (re) commençons à le décrire… Ai pensé à « ici, des briques de texte sur le terrestre », mais le mot « terrestre » risque de ne pas être compréhensible. Faut-il vraiment ajouter un slogan en haut du site ?
Vendredi 29 septembre 2023
La boussole du terragraphe : n’implorer ni le local ni le global, mais explorer, de proche en proche, quelques grains de sa subsistance terrestre. Tracer ces grains, les compter, les suivre au fil des jours. Enquêter : grâce à quels alliés s’agglomèrent-ils ? Par quels ennemis se font-ils disperser ? Quoi que l’on perçoive, n’implorer aucune signification transcendante, mais se contenter de décrire les signes de son terrestre qui se disent et se contredisent. Faire de cette description, sa signature « anthropo – terrestre ». La partager, se rapprocher de ceux dont l’enquête quotidienne conduit au même genre de signature. Voir ces descriptions collectives comme une possible signature « politico -terrestre ».
27 mars 2021
L’association terragraphe souhaite valoriser l’effort de ceux qui (re) commence à décrire leurs « attachants » terrains de vie.
Le « terrain », pour l’association terragraphe, ce n’est pas nécessairement tel ou tel territoire géographique, mais plutôt telles ou telles superficies alliées auxquelles nos subsistances sont singulièrement attachées. Le terrain, ici, est plutôt vu comme le « terrestre » au sens de Lefebvre ou de Latour (voir plus).
27 mars 2021
L’association terragraphe s’intéresse à « l’écriture de terrain ». (L’écriture, ici, c’est l’écriture partiale et partielle. Les terrains, ce sont ces parcelles plus ou moins cartographiées qui nous font plus ou moins subsister). L’association s’adresse à ceux qui cherchent à saisir, par cette écriture informelle, ces terrains sans formes qui « nous » saisissent.
28 septembre 2019
L « objet » de l’association terragraphe est provisoirement formulé ainsi :
colliger, conférer et conduire diverses expériences d’écriture de/du terrain impliquant les membres ou les bénéficiaires de l’association.
Face aux métamorphoses des terrains de subsistance, installer une nouvelle discipline d’éducation au/du terrestre : la terragraphie.
Un peu plus centrée sur les institutions humaines que la géographie, mais un peu moins que l’ethnographie, cette discipline d’écriture enchevêtrée cherche à traduire la façon, plus ou moins amicale, dont des êtres de « tout poil » (organiques ou non) construisent leur même éducation au/du terrestre.